Le 17 novembre 1993, j’achète à la FNAC de Metz le livre «  Sur La Trace De La Chouette D’Or».

J’achète également un atlas RECTA-FOLDEX.

Je m’inscris sur le 3615 MANYA et commence par lire la présentation du jeu et son règlement.

En 1993, il était écrit sur le 3615 MANYA, dans la présentation du jeu, que les visuels étaient des plans ! A part moi, qui l’a lu ? Il fallait donc comprendre que les visuels étaient des rébus, sinon que comprendre de la présentation ? Les visuels sont une compilation de rébus, certains pour débuter le jeu, en gros plans, d’autres pour le finir. Certains sont des plans millimétrés et donnent la mesure, d’autres sont tirés de photos prises par MAX VALENTIN et sont la patte de Michel Becker.

Ci -dessous, ce qui se lisait sur la page de présentation du minitel en 95, après modification sur le concept de chouette d’or ou de bronze enterrée…. mais qui ne change pas le règlement de la chasse.

En 1995, Max Valentin a changé son trésor enterré. Ce n’est plus une chouette en or, mais en bronze. Plus besoin de creuser pour la gagner, il suffit de dire à Max Valentin sur la bal Les Auteurs où vous l’avez localisé et vous devenez le gagnant, suivant l’article 5. Ensuite, RDV sur place et vous creusez devant Max et la postérité, là précisément où il l’a enterré….. Chronologie appliquée dans la chasse suivante: Le Trésor d’Orval. Cette idée était déjà appliquée dans la chasse Masquerade qui a inspiré Paul Régis Hauser, alias Max Valentin.

Pour bien comprendre le fonctionnement logique de cette chasse au trésor, j’en crée une que je propose à l’Association des Commerçants de Metz: Le Tube De l’Eté. Aucune réponse. Je la propose ensuite au Conseil Départemental de la Moselle et au Conseil Régional de Lorraine, en leur disant que, si ma chasse ne leur convient pas, je connais Max Valentin, qui saurait en faire une plus attractive. Pas de réponse encore une fois. Je propose ensuite ma chasse à mon employeur, Auchan. Elle s’appelle Auchan, label de caddies, puis Auchan, élisez. Chef intéressé, mais me laisse gérer seul la chasse: quel sera le lot, y a t’il des obligations, qui fait et paie l’huissier pour le réglement, quelle durée, quelle facilité, comment et où mettre les questions, etc. Aucune réponse. Je laisse tomber devant aussi peu d’engagements.

Et pis un jour Max Valentin apparait pour le lancement d’une nouvelle chasse au trésor : La Toison d’Or. Le demandeur : le Conseil Départemental de Moselle…. Je lui écris et lui demande comment c’est possible qu’il ne sache pas que je suis aux manettes dès le début. Il ne sait pas, l’offre est venu directement du Conseil Départemental de la Moselle… Fier mais déçu… Je laisse béton . Je continue ma chasse.

Pour trouver la carte utilisable, il faut bien comprendre l’indication supplémentaire qui, décryptée, donne  » Gonfle, et ses avis tiennent la route » , ce qui n’est pas très clairement dit ! C’est une fausse piste. Alors que les chercheurs comprennent qu’il faut une carte MICHELIN ( Gonfle comme le BIBENDUM des pneus MICHELIN, les avis étant le guide MICHELIN ), je possède une carte RECTA-FOLDEX, moins connue, qui a fait de la publicité pour les pneumatiques HUTCHINSON et qui a donné des avis sur ses cartes régionales. Cette seconde carte nous confirme deux choses :

Des indices trouvés sur cette carte ne sont pas sur la carte MICHELIN, et donc il faut les y noter. On se demande bien pourquoi Michel Becker propose donc cette carte qui ne sert à rien, sachant qu’il a peint au millimètre d’après la RECTA-FOLDEX.

Le format des visuels est calqué sur les parallèles et méridiens formant des rectangles de la taille des visuels sur la carte RECTA-FOLDEX.

© BLAY-FOLDEX – 1993

L’idée de départ : les visuels étant des rébus, il fallait commencer par trouver un rébus plausible. J’ai donc pris mon atlas RECTA-FOLDEX ( BLAY-FOLDEX ) et j’ai, page par page, cadre par cadre, noté tous les noms de villes, de villages, de lieux, de curiosités se trouvant dans l’atlas, et pouvant être des points d’entrée dans la chasse. Si par exemple je voyais une canne, elle me donnerait la Ville de Cannes, si je voyais un lion, ce serait la Ville de Lyon ou la Ville de Belfort.

A la fin de mes recherches, je n’avais noté que deux noms : Notre Dame des 7 Couleurs dans le Luberon, et La Main De Dieu dans le Queyras.

Le premier nom trouvé, Notre Dame des 7 couleurs, m’a emmené dans le Luberon en 94. Magnifique région que je conseille à tout le monde de visiter, surtout ses villages perchés. Par contre je n’y ai rien trouvé, sinon un livre d’une bibliothèque de Cadenet dans lequel il est écrit que la Durance est la Lumière de la Provence.

Le premier nom ne me donna rien, sinon ce qu’était la Lumière, le plus précieux mot-clé tabou de la chasse. Quand au second nom, il m’éclaira la chasse.

Fin 94, je change de piste et me penche sur La Main De Dieu, montagne du Queyras. D’un certain point de vue, elle ressemble à un bateau qui coulerait par l’arrière, une nef encalminée. J’ai donc partiellement la 600 qui désigne la main gauche de Dieu. J’applique donc mon atlas sous l’énigme B, La Main De Dieu sous la main gauche du personnage. La main droite repose sur La Pointe De Saume. J’analyse la B avec ce procédé, et je remarque que tout en bas du visuel de la B se trouve un tout petit ours et une tête d’homme qui regarde vers la gauche. Sous le visuel, aux mêmes endroits sur l’atlas se trouve Saint-Ours et La Tête De L’Homme, près de l’Ubaye: deux petits rébus peu visibles. Je m’aperçoit aussi qu’au centre de la B se trouve peint en noir et blanc un village vu de haut : Montgenèvre

© BLAY-FOLDEX – 1993

Mais, et c’est incroyable, Michel Becker a peinte une chouette tout en haut de la B, et qui, placée sur une carte, se trouve aux sources de la Durance…..

Max m’a toujours contesté dans ses madits que l’ordre donné par la B était un ordre géographique, un visuel avec des rébus nous montrant une région. Max le menteur ou Max l’ignorant ?

En tout cas, Michel Becker, le peintre des visuels, sait puisqu’il a dessiné le visuel d’après plan, donc il connait les rébus.

Une autre chose incroyable : la B, première énigme, celle qui vous donne l’ordre, était sensée être la dernière énigme de cette chasse initialement, ce qui excluait le fait de faire étape par étape. Si on vous donne l’ordre à la fin, cela signifie que vous prenez les énigmes dans l’ordre que vous voulez, et vous cherchez l’ordre des énigmes une fois celles-ci trouvées. Mais dans le livre vous avez un ordre donné par la B, donc vous le suivez, étape par étape. Chose faite.

Pour avancer dans ma chasse, je décide à partir en vacances avec ma femme à Saint-Véran. Au centre du village, je découvre un panneau qui précise que Saint-Véran est le plus haut village d’Europe, où les coqs picorent les étoiles. J’achète chez un marchand de souvenirs une carte postale où se trouve Le Col De Saint-Véran. Je remarque qu’il est dessiné exactement comme le fond derrière le coq du visuel de la 530. Et c’est à Saint-Véran que se trouve un Observatoire, pour regarder nos planètes voisines.

Je sais que je viens de trouver ma seconde énigme. Ma conclusion viendra plus tard quand du vin de Saint-Véran sera servi aux chouettes fêtes : un indice des co-auteurs pour les participants aux fêtes !

Je comprends que ce qu’est l’Ouverture ( un col, ouverture entre deux montagnes.. ) et quelle est la seconde grosse fausse piste, après la carte. La totalité des chouetteurs ont trouvé l’Ouverture, mais pense que c’est Bourges, alors que le Col de Roncevaux est un indice. Max le futé a encore frappé: A Roncevaux se trouve le col de Roncevaux !

Après avoir trouvé la 600 ( La Main De Dieu ) comme première énigme, et la 530 (Saint-Véran) comme seconde énigme, le texte de la B me soumet que j’ai oublié une énigme : la 470. Je tire donc un trait entre La Main De Dieu et Saint-Véran et je trouve un village nommé Saint-Roch. J’en déduis que l’épée signifie saint et que le rocher dans laquelle elle est plantée est le roc ou la roche. Énigme 3 presque résolue.

En plaçant mon atlas sous le visuel, je remarque à gauche de l’épée un autre rébus : Montdauphin, symbolisé par une butte en tête de dauphin, puis à droite de l’épée un coq dessiné là où sur l’atlas se trouve Saint-Véran.

Le 26 décembre 1994, un avion est détourné sur l’aéroport de Marseille-Marignane. A 17h12, le GIGN rentre dans l’avion. A l’instant précis où une balle fracasse la main du membre du GIGN qui ouvre la porte de l’avion, je comprends que la ligne Saint-Véran / Saint-Roch / La Main De Dieu forme la base de l’équerre dessinée sur un visuel. Je l’écris dans la bal Les Auteurs du 3615 Maxval. Le lendemain, Max Valentin me répond : j’admire votre sportivité et votre combativité, Macbeth ( mon premier surnom dans cette chasse ). Ce jour là, j’ai su que j’étais bien placé dans la course. Max dira plus tard qu’au début de la chasse, un chasseur se trouvait à 20 kilomètres de la cache. C’est mon cas, et Max le savait !

© BLAY-FOLDEX – 1993

Reprenons quelques énigmes de la charade :

Mon premier, première moitié de la moitié du premier âge ( ce n’est pas le B de bébé, mais les seins de sa moitié, sa mère !!!),

précède mes second et troisième ( doigts, ce qui donne le signe V de la Victoire ),

cherchant leur chemin ( errants ).

Nous avons donc déjà seins V errants donc Saint-Véran…. Je dis ça….

Donc j’ai pour Saint-Véran le coq qui picore les étoiles , la main qui touche le ciel et l’observatoire de Saint-Véran:

Je n’ai pas été plus loin, ayant déjà trouvé la totalité de l’énigme sans le texte, même si je ne le comprends pas encore.

Mais ce que je sais, c’est que….

Mon quatrième s’inspire ( et non, l’air ne s’inspire pas mais se respire. Donc pas de R dans cette énigme ).

Mon sixième, aux limites de l’éternité, se cache. Les E, aux limites du mot, ne se cachent pas !!!

Mon septième, dressé, crache son venin ( et ne donne pas le S de serpent car le serpent ne crache pas son venin mais l’injecte, excepté le Cobra ou Naja qui peut le cracher dans les yeux de ses victimes. Donc on retient sûrement l’une de ces deux lettres. Je rappelle qu’il y a des serpents venimeux qui mordent et injectent leurs poisons, et des serpents non-venimeux qui mordent et s’enroulent autour de leurs proies pour casser leurs os, les étouffer et les tuer ).

Presque pas de sages dans cette chasse. Et Max le futé qui valide Bourges, sans préciser que trouver la ville est une fausse piste.

De ce fait, je me dois aussi de parler de la connerie humaine, de ces flatteurs, de ces pollueurs, de ces chouetteurs pas sages qui se prennent pour le créateur et qui, dès que j’ai parlé de ma découverte, m’ont traité de con, m’ont insulté de petit QI. Ces gens qui, tel l’administrateur du forum lachouette.net, ce forum de la paresse intellectuelle, se sont fait les maîtres de cette chasse, décidant de ma liberté d’écrire ou pas, me censurant, m’effaçant des forums et des pages Facebook, parce que ma découverte dérangeait ou juste parce que je demandais sur le forum si les co-auteurs de la chasse étaient des chasseurs.

Ces gens qui passent à la TV, écrivent LA solution dans des livres, prennent leur vérité pour La Vérité, sans se demander une seule fois quelles sont les fausses pistes, et pourquoi ils ne sont pas d’accord avec les madits de Max le futé, le traitant de menteur parce qu’il ne va pas dans leur sens. Il mentait, certes, mais sur un point précis : la continuation de la chasse.

Mais revenons aux énigmes de cette chasse, aux visuels complexes et magnifiques, aux textes qui paraissent si compliqués et qui sont pourtant, eux, si simples…

Revenons à la logique maxienne…

Trouver Carignan avec si peu de cryptologie est une chose, mais trouver le bon Carignan et savoir l’exploiter en est une autre.

© BLAY-FOLDEX – 1993

De Carignan De Bordeaux, la portée nous donne l’orthogonale jusqu’à l’Ouverture du Col D’Izoard, mais par le Méga ( la gamme ), en prenant l’angle, on arrive à 560 km de là à Briançon dont les 4 entrées de la ville lui donne la forme d’une spirale, d’où le dessin d’une spirale sur la route avant d’entrer en ville. Je crois bon d’ajouter que les pistes de ski de Montgenèvre, à quelques kilomètres sur la route vers l’Italie, sont appelées La Voie Lactée, notre galaxie en forme de spirale.

© BLAY-FOLDEX – 1993

Aller du Queyras au Briançonnais, quelle belle idée pour trouver la zone ! Mais pour comprendre la lumière, il fallait tirer un trait de La Main De Dieu via Le Col D’Izoard jusqu’aux sources ( les petites lueurs ) de la Durance ( notre Lumière de la Provence ), qui se trouve au centre de mon plan IGN, comme l’a dit Max le futé dans ses madits.

© BLAY-FOLDEX – 1993

Mon petit doigt m’a dit ( mais a t’il raison ? ) que les 11 lettres de l’énigme 470 ne donnent pas A Roncevaux mais Montgenèvre. D’ailleurs, c’est à Montgenèvre que l’on découvre les sources de la Durance au Col Du Gondran, près du Rocher De L’Aigle et du Sommet Des Anges. De bien belles sentinelles que ces montagnes….

Michel Becker a dessiné cette ville vu de haut sur la B, au centre du visuel, voir ci-dessous…

C’est dans ce Col Du Gondran que j’ai découvert un rocher en forme de cosse ( la rosse et le cocher / la cosse et le rocher ). Ce rocher mondialement connu est représenté par la roue du carrosse et le fond du visuel est identique à celui d’une photo du rocher.

Max Valentin a dit un jour qu’il n’avait jamais vu autant de matières grises que sur ce forum. Je pense qu’il blaguait. Personnellement je n’ai jamais vu autant de personnes sûr d’elles, et n’acceptant pas les contradictions, se fichant des recommandations du minitel et de Max Valentin, expliquant qu’ils avaient raison et que Max Valentin avait tort, qui n’avait pas tout calculé. Bref, sur ce forum il y a vraiment un manque de matières grises qui se révélera quand les solutions seront validées .

En descendant vers le Sud-Est à pied, comme visible sur le visuel de la boussole, je découvre dans ce col, sous la crête, un cœur naturel blanc jaunâtre ( comme celui derrière la clé ) comme Max et Becker l’ont dit,  » un lieu symbolique  » , avec des herbes hautes au-dessus, et près du centre une borne carrée à plusieurs nuances de blanc, et de 33 centimètres de côté : le pied, j’ai découvert ma localisation !!!

5 minutes après ma découverte, on me tire au raz de mon oreille gauche avec un fusil de chasse à grosses cartouches, à la Trump ( Rajout du 6/10/2024 ).

Sympa comme idée de découragement, car ce n’était pas un accident. Il n’y avait pas de chasse en cette saison, et j’étais à découvert, la vue de la crête sur moi était directe, sans aucun obstacle, par temps radieux. C’était une tentative de meurtre délibérée. Pendant mes deux heures de descente, j’ai pensé que ma tête allait exploser sous la balle d’un tueur. J’ai même pensé que si j’allais faire un signalement à la police, il m’avait encore dans le viseur. Il me faudra 3 ans après le choc pour revenir sur le lieu de la localisation, sans en parler à la Police pour ne pas dévoiler la cache, mais la grosse cartouche couleur grenat est toujours dans l’herbe sur la crête, et la balle dans la terre jaune, si la Police s’y intéresse.. J’ai même une idée assez précise de la personne qui m’a visé.

Pendant ces 3 ans, j’ai relancé Max Valentin plusieurs fois, pour qu’il me fasse le gagnant de cette chasse. Sans succès. Je lui ai même dit qu’il ne pouvait continuer à gagner de l’argent avec son minitel, puis qu’il y aurait eu fraude. De ce fait, il a fermé son minitel quelques jours après mon message. Par contre Michel Becker continue de vendre son livre !!!

3 ans où Max serait venu déterrer la chouette une fois dans ce laps de temps, comme le lâcha sur son blog le chouetteur Monglane, ami de Max Valentin. Mais Max a aussi retiré chez l’huissier ses solutions, pour les remettre plus tard, donc il a peut-être enlevé la chouette en bronze, l’a placé ailleurs, et a modifié sa disquette et son livre des solutions, pour une autre localisation. Tout est permis dans cette chasse, sauf de la gagner honnêtement. Mais la réalité est toute autre. La chouette n’a jamais été enterrée. D’ailleurs, Météor, un chouetteur ami de la famille de Max Valentin et le parrain de sa fille, a déclaré récemment que la chouette de bronze était en 1997 chez Max Valentin !

Mais curieusement, quand j’ai creusé sur la cache, j’ai trouvé le reste du pied de l’arbuste, cette paille déchiquetée. Donc si la cache est toujours inviolée, comment Max a t’il fait pour l’avoir en 1997 chez lui et la déterrer en l’an 2003 ? Une seule réponse : Il ment : elle n’était pas dans le trou. Il fallait donc juste la localiser, et l’arbuste était un repère pour savoir si quelqu’un avait creusé. Mais l’arbuste a été cassé à la racine et a pourri. En 2020, quand j’ai trouvé en creusant la racine souterraine de l’arbuste, je ne le savait pas encore. Et rien n’était logique dans cette histoire d’enfouissement: on ne plante pas un arbuste sur un trésor à sortir du trou.

Max le futé a toujours dit qu’il pouvait y avoir plusieurs façons d’arriver sur le lieu de la cache, donc il peut y avoir plusieurs énigmes finales, puisque l’énigme finale ne doit pas dire où creuser, mais où se trouve la localisation. On peut certes la trouver précisément, mais c’est la localisation, suivant l’article 5 du jeu, qui permet à un chouetteur de gagner, pas le fait de la tirer de son trou. D’ailleurs planter un arbre sur la tombe de la chouette, dire que l’article 5 est fait pour que personne ne porte plainte après s’être blessé au pied en creusant, c’est bien signaler aux chouetteurs qu’il faut juste la localiser, et la laisser pour l’éternité dans son trou, ou bien creuser si on veut la statuette de bronze… Cette idée de localisation apparaît clairement au public 2 ans après le début de la chasse, quand on découvre que c’est une contremarque qui est enterrée. Mais pour ma part, j’avais vraiment compris qu’il fallait la localiser de son fauteuil, puis qu’il fallait écrire dans la bal Les Auteurs et se donner RDV ( Max Valentin, Michel Becker et le gagnant ) sur place, et enfin que le gagnant devait s’aider d’une pelle pour la déterrer sous les yeux, caméras et appareils photos de Max Valentin et Michel Becker.